QUI SUIS-JE?
Diplômée d'Etat en Masso-Kinésithérapie en juin 2008 à l'IFMK de Montpellier, j'ai commencé à travailler en centre de rééducation et en libéral. Je me suis alors rendue compte des limites que comportait la formation de base en Masso-Kinésithérapie.
Soucieuse de l'efficacité de mes soins, je me suis alors penchée sur de nouvelles formations afin d'enrichir mon savoir-faire.
J'ai décidé de me former à des techniques qui considéraient le corps dans son ensemble plutôt que de façon segmentaire. En effet, s'il est important de traiter la zone douloureuse, il est également judicieux de rectifier les déséquilibres (chaînes musculaires surprogrammées, tensions nerveuses...) qui peuvent en être responsables.
J'ai commencé par me former à la technique des chaînes physiologiques de Léopold Busquet en 2012.
Petit à petit, toujours soucieuse de plus d'efficacité dans ma pratique, mon activité professionnelle m'a amenée; courant 2014, à m'orienter vers la Microkinésithérapie , une technique dont j'ai depuis eu le plaisir de pouvoir confirmer l'efficacité au cours de ma pratique.
Cette technique intéressant de plus en plus de sportifs, afin de garantir la meilleure prise en charge possible auprès de ce nouveau public, j'ai réalisé un mémoire sur l'intérêt de la microkinésithérapie dans la rééducation du sportif, présenté en fin de formation au CEKS d'Antibes et qui m'a permis de passer avec succès le diplôme de Kinésithérapeute du Sport en 2019.
MICROKINÉSITHÉRAPEUTE
MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE
KINÉSITHÉRAPEUTE DU SPORT
LA MICROKINÉSITHÉRAPIE
La microkinésithérapie s’inscrit dans le registre des thérapies complémentaires.
Initiée dans les années 80 par les kinésithérapeutes français Daniel GROSJEAN et Patrice BENINI, cette pratique ne cesse d’évoluer.
Cette technique part du principe que le corps humain, comme tout organisme vivant, est conçu pour s’adapter, se défendre et s’auto-corriger en cas d’agressions traumatiques, émotionnelles, toxiques, virales, microbiennes ou environnementales.
Lorsque l’agression est supérieure aux possibilités de défense de l’organisme, la mobilité du tissu corporel concerné va être altérée. Il y a “mémorisation” de l’agression. La modification de la mobilité tissulaire peut faire apparaître différentes manifestations locales ou à distance.
Ainsi, la microkinésithérapie prend en compte la globalité de l’organisme et de la personne. Elle permet d’identifier par une technique manuelle spécifique appelée micropalpation, la ou les causes (étiologies) des symptômes à l’origine de la consultation et d’induire leur élimination par le biais de légères stimulations sur le corps, déclenchant les mécanismes réparateurs.
La microkinésithérapie se veut curative et préventive.
Adaptée à tous les âges de la vie, son large champ d’indications en fait un outil de premier ordre pour les professionnels de santé (kinésithérapeutes ou médecins) qui l’utilisent.
Les récentes expérimentations dont la microkinésithérapie a fait l’objet ont permis de démontrer son efficacité et accroissent progressivement sa validation scientifique qui, associée aux témoignages quotidiens et aux retours positifs des patients lui confèrent une place de choix dans les domaines de la santé et du bien-être.
« La santé n'est appréciée à sa juste valeur que lorsque la maladie surgit. »